Je viens de rentrer du restau. J’ai fait le meilleur repas depuis que je suis en Inde. Pas boui-boui, pas classe, juste bien. Servi dans des plats en cuivre :
Le meilleur repas de mon séjour
Parc national de Bannerghatta
Pas trop loin (~20 km) au sud de Bangalore, il y a le Parc National de Bannerghatta, que j’ai décidé d’aller visiter.
Première question existentielle : comment y aller. Il y a bien quelques lignes de bus qui y vont, mais les bus sont assez peu nombreux (et mon goût de l’aventure commence un peu à se tasser). Taxi ? Pourquoi pas, mais si je commande un taxi à l’aller et un autre pour le retour, vu que Bannerghatta est bien paumé, je vais raquer à mort. Une autre solutions : garder le taxi pendant que je visite. Heureusement, je commence à connaître les principales compagnies de taxi de Bangalore. Je commence par Meru Taxi (à prononcer Mérou) : pas possible de faire attendre le taxi plus de 20 min. Zut… Bon essayons Easy Cabs… Oui, c’est possible ? Allez, rdv pris pour 8h30 à l’hôtel (le parc ouvre à 9h). (more…)
Samedi Indien
Pas question pour moi de faire la grasse mat’, au risque de perdre le rythme Indien. Réveil à 8h, petit déjeuner (omelette, saucisse, bacon), préparation du dimanche, et hop, parti avec 1,5l de flotte, direction un petit coin où j’avais repéré des boutiques intéressantes, à environ 10km de l’hôtel.
Sur la route, un temple:
Aikido à Bangalore
Quand on est loin de chez soi, retrouver des sensations familières permet de compenser le stress du voyage. Quand, en plus, ces sensations permettent de faire du sport, c’est double bénéfice.
J’ai donc recherché les clubs d’aikido de Bangalore, en ai trouvé un (seul, pour une ville de 8 millions d’habitants) ici: http://www.aikidoindia.org/
J’ai donc pris contact avec le sensei, en demandant si je pouvais venir et si une tenue « light » (car le kimono + le hakama, ça prend « un peu » de place dans les valises).
Et me voilà, ce soir, en direction de l’Alliance Française de Bangalore (qui héberge de club d’aikido):
Retour à Bangalore
Je viens de terminer mon deuxième jour de travail à Bangalore, capitale du Karnataka, état de l’Inde.
Contrairement à mes séjours précédent, je ne vais pas poster quotidiennement, mais juste de temps en temps.
Ce soir, je me suis mis en quête d’un restau. Je n’ai pas aucune envie de dîner à l’hôtel. Un collègue Indien m’avait conseillé un restau, pas très loin de l’hôtel (un bon quart d’heure). Il doit être bien car il était rempli. Je continue, restau Italien (ah, non, pas ici !), re-restau Italien (non, toujours pas), puis rien. Prêt à faire demi-tour, je tombe sur ça :
Je monte les escaliers, et voici le décor :
J’ai eu un petit instant de recul devant le décors sommaire, mais, gouverné par mon estomac, je me suis attablé et ai commandé un poulet au curry.
Assez « roots » comme présentation, mais c’était plutôt bon : pas trop de piment, plein de parfums. Le tout pour la modique somme de 1e !
C’est ensuite le chemin de retour en direction de l’hôtel. Je suis alors tombé sur l’affiche suivante :
Il parait que Maria Montessori a passé quelques années en Inde pendant la seconde guerre mondiale. L’Inde est le pays au monde où il existe le plus d’écoles Montessori.
Je suis maintenant de retour à l’hôtel, et je crois qu’il va bientôt être l’heure d’aller se coucher. A bientôt.
Générateur de rébus
En prévision de la petite fête d’anniversaire qui se prépare, j’avais besoin de préparer quelques rébus.
C’est maintenant chose facile grâce à ce site :
http://www.rebus-o-matic.com/index.php
Un petit exemple :
Les secrets du catch
J’avoue, je regarde, régulièrement, des matchs de catch à la télé.
Je sais que tout est bidonné, scénarisé … mais jusqu’à quel point. Ce reportage, découpé en 5 parties, (in English) datent un peu, mais ils donnent une bonne idée de ce qu’est vraiment le catch pro.
« La stratégie Ender » d’Orson Scott Card
Note : 5/5
ISBN : 978-2277237815
Ce doit être la 4ème fois que je lis ce roman, et toujours avec un plaisir aussi intact. Prix Hugo en 1986, prix Nebula en 1985, ce livre (et le reste de la trilogie) sont des références dans le monde de la science-fiction.
Ender Wiggin est un petit prodige. A l’âge où la plupart des enfants jouent aux Playmobils, lui fait l’Ecole de Guerre, puis l’Ecole de Commandement afin, un jour, de commander l’armée terrienne qui devra lutter contre les « doryphores », extra-terrestres surgis d’on ne sait où, et qui ont déjà été repoussés par deux fois.
Mais ses professeurs sont bien cruels et injustes. Pourquoi ?
Un monde cohérent, des personnages attachants (même l’immonde frère d’Ender), des rebondissments à couper le souffle, ce livre est tout simplement génial ! A lire !
Jouer à pierre-feuille-ciseaux
Si tu ne trouve personne pour jouer à pierre-feuille-ciseaux, va voir ici : http://www.nytimes.com/interactive/science/rock-paper-scissors.html
L’ordi joue selon les statistiques des séquences les plus jouées. En mode novice, il n’a pas de statistiques initiales (il apprend au fur et à mesure). En mode vétéran, il exploite les statistiques de plus de 200 000 parties déjà jouées.
En novice, sur 50 coups, je me suis fait battre d’une courte tête. En mode vétéran, je me suis fait tôler !