Si, si, ça existe. Regardez :
C’est-y pas mignon ?
Si, si, ça existe. Regardez :
C’est-y pas mignon ?
Pour Noël 2007, j’ai reçu une flûte traversière … Un nouvel instrument de plus à apprendre.
Pour le réveillon du nouvel an 2008-2009, j’ai proposé à une copine (merci Algrid) qui joue aussi de la flûte de faire un duo : nous avons choisi l’Ave Verum de Mozart (limité aux deux voix du dessus).
Je me suis ensuite amusé à m’enregistrer en train de jouer les quatre voix successivement. Comme la flûte n’a pas un registre suffisamment étendu pour jouer les quatre voix, j’ai joué la voix de ténor à l’octave du dessus et la voix de basse deux octaves en dessus. Par bidouillage numérique, j’ai remis ces deux voix à leur hauteur normale, j’ai mixé le tout, et ça donne ça : Ave Verum à la flûte
Après, je me suis dit que, pour une oeuvre écrite pour un choeur, ça pourrait être bien de le chanter aussi. J’ai donc enregistré à leur hauteur normale les voix de ténor et de basse, et à l’octave en dessous les voix d’alto et de soprano. Et là, çe le faisait pas du tout : la transposition d’une octave des voix d’alto et de soprano donnaient des voix de gremlins… Après analyse attentive de la partition, j’ai vu que je pouvais faire la voix d’alto sans trop de problème, ainsi que la voix de soprano (en voix de tête quand même). Et voici l’Ave Verum de Mozart par le Fabulous Fab’s Quartet.
Voici une conférence, donnée par Jean Kilbourne sur le thème de l’image de la femme dans la publicité aux Etats-Unis (je ne suis pas sur que ça soit très loin de ce qui se passe chez nous.
Cette vidéo de 34 min, bien qu’en anglais, est passionnante. Le sujet, bien que traité en profondeur, passe bien grâce à un humour toujours présent.
Enjoy.
http://video.google.com/videoplay?docid=-1993368502337678412Je suis en train de lire « Le meilleur des mondes », d’Aldous Huxley. Il y est fait mention d’une soprano, Lucrezia Ajugari, qui aurait impressionné le jeune Mozart par sa tessiture.
Je me suis précipité sur Internet pour vérifier, et j’ai troucé ça. Je me suis alors posé la question suivante: à l’heure des records débiles en tout genres, y a-t’il un record « officiel » de tessiture vocale.
Eh bien oui, il est détenu par Georgia Brown, chanteuse Brésilienne. Voici deux petites vidéos de ses exploits:
Note : 1/5
ISBN : 2277214752
Je suis tombé sur ce livre un peu par hasard : j’avais besoin d’un livre, je suis passé devant la bibliothèque en me disant : « que vais-je pouvoir lire? », et je tombe sur ce livre que je n’avais pas ouvert depuis au moins 15 ans.
Je comprends maintenant pourquoi je ne l’avais pas ouvert depuis tout ce temps. L’action se passe au milieu de différents types d’extra-terrestres, et l’auteur s’amuse beaucoup (mais le lecteur beaucoup moins) à nous noyer dans un maelström de noms imprononçables (exemple, les extra-terrestres Knnn).
J’ai tellement peu accroché, que je suis passé en mode de lecture ultra-rapide ; j’ai même sauté une cinquantaine de pages pour ne lire que les 10 dernières.
Je vais enchaîner sur un autre livre du même auteur (que je n’ai pas lu non plus depuis une éternité) pour voir si c’est l’auteur qui me fait ça, ou ce livre en particulier.
A éviter
Note : 4,5/5
ISBN : 2070375161
Non, je n’ai pas lu trois livres en un jour … Je rattrape juste mon retard.
Que n’a t’on pas dit à propos de ce livre … Ce court roman est un classique. Geeorge Orwell nous y décrit une ferme, en Angleterre, où les animaux se révoltent contre leur maître humain et prennent le pouvoir. (more…)
Note : 3,5/5
ISBN : 2277217824
Pour ceux qui ne connaissent pas, Robert Heinlein, c’est un écrivain classique de l’âge d’or de la SF. Et nous avons ici un classique du genre : une SF discrète, qui reste au service du roman, et qui sait se faire oublier.
Je n’ai pas mis 4 car j’ai trouvé trop de points communs entre « Vendredi » et « Le ravin des ténèbres » du même auteur : une héroïne féminine, écrit par un homme qui n’a pas l’air de trop s’y connaîte en psychologie féminine, une sexualité un peu trop présente.
A lire
Note : 2/5
ISBN : 2290317985
Deux, ça peut paraître un peu dur, mais tout autre auteur que Silverberg aurait un trois; Silverberg nous avait habitué à de très bon romans comme toute la série de Majipoor.
Le roman se situe sur une cinquantaine d’années, et sur ces cinquante ans, il ne se passe pas grand chose. Et la fin tombe complètement à plat ; sans compter qu’elle s’inspire honteusement de la fin d’un grand classique de la SF.
Bref, un Silverberg à éviter ; en revanche, si jamais vous avez l’occasion de lire d’autres Silverberg, n’hésitez pas, ce sont généralement des oeuvres de qualité.
Cher lecteur, je te souhaite une bonne et excellente année 2009. Qu’elle soit remplie de joie, de succès et de sérénité !