Vous ne connaissez pas David TMX ? J’en ai déjà parlé ici.
Il vient de commettre un nouvel album : K.C.D. et plus si affinités. (more…)
Vous ne connaissez pas David TMX ? J’en ai déjà parlé ici.
Il vient de commettre un nouvel album : K.C.D. et plus si affinités. (more…)
Note : 4/5
ISBN : 2266170120
On m’a planqué mes « Eddings » ! Impossible de chercher un livre précis dans le foutoir actuel (on est en plein réaménagement de la partie bibliothèque). Je prends le premier petit livre acceptable qui me tombe sous la main, et voilà sur quoi je suis tombé.
Je connaissais de nom Georges Perec, et son appartenance au mouvement ‘Oulipo’ ; pour mémoire, c’est lui le fou qui a écrit « La disparition », roman qui ne contient pas une seule fois la lettre ‘E’.
Ce roman décrit le quotidien d’un couple éternel insatisfait de sa condition. Le style est minimaliste, les dialogues absents, et pourtant, on se sent entrainé, pris par la spirale de l’insatisfaction de ce couple dans lequel on se reconnait tous un peu.
Cécile a bien fait de me planquer mes « Eddings », mais je les ai retrouvé …
La sortie dominicale s’est effectuée au « cirque sans noms », à la Grainerie de Balma. C’est un spectacle à trois, chaque artiste a sa spécialité, même si tous savent faire un nombre de chose impressionnant. Nous avons l’acrobate, le clown et le musicien ; tous les numérostableaux s’enchainent avec poésie sous ce chapiteau qui sent bon le bricolage réussi, et le spectacle se termine beaucoup trop tôt. Toute la famille, de 37 à 1an a été scotchée.
Je fais donc un pub inconditionnelle pour ce spectacle …
Enfin, j’y participe ! Depuis que je fais les dégustation de whiskies chez Robert Peccolo (L’univers des vins, Toulouse), je n’avais pas encore eu la possibilité d’assister à de ces repas/dégustation.
Le principe : le cadre sympathique du restaurant « La table du Barry » à Gratentour, avec un menu et, pour chaque plat, un whisky choisi par Robert.
Nous avons donc commencé par quelques canapés, accompagnés d’un « Irishman » (Superior Irish Whiskey). Voici un bel exemple pure pot still (whiskey de malt distillé en lot, en non en distillation continue). Jusqu’à présent, je n’avais goûté que le « Green Spot » et le « Red Breast » dans cette catégorie. J’ai retrouvé ici un mini « Red Breast » : les mêmes arômes mais en plus petit … Pour une bouteille à 27?, c’est un bon rapport qualité prix, bien meilleur en tout cas que le « Green Spot ». Mais mon coeur reste acquis au « Red Breast ».
Nous avons ensuite enchaîné sur le rouleau de saumon, accompagné d’un sympathique Talisker 10 ans. Talisker est l’unique distillerie de l’île de Skye, en Ecosse. Voici un whisky sympathique, finement tourbé, épicé, avec quelques notes marines. C’est un classique, que l’on peut trouver à la maison du whisky pour 34,5?. Un bon rapport qualité prix qui permet de s’initier aux plaisirs du tourbé sans trop se ruiner.
Et voici qu’arrive la caille farcie avec sa purée, accompagnée du « Monkey shoulder ». Ce blend de single malt est composé de « Balvenie », de « Glenfiddich » et de « Kininvie ». J’ai trouvé ce whisky agréable, sans pour autant lui trouver de caractéristiques particulièrement intéressante. Le prix de 29? est honnête pour la bouteille, sans plus.
L’estomac commence quand même à se remplir, mais les « hostilités » ne sont pas terminées car voici le croustillant de chèvre au miel, avec le « Isle of Jura » 16 ans. Belle bouteille ! L’île de Jura se trouve juste à côté de l’île d’Islay ; outre une distillerie, l’île compte aussi 10 fois plus de cerfs que d’habitants ! Peut-être la soirée était-elle trop avancée ? Peux-être ce classique m’est-il encore inaccessible ? J’ai trouvé ce whisky atypique, sans pour autant particulièrement l’apprécier. Pour un prix de 43?, je trouve le rapport qualité/prix trop élevé.
Les gamins sont couchés. On peut maintenir sortir le vrai whisky pour la fin. Tous les whiskies goûtés jusque là titraient entre 40 et 45°. Celui-ci, servi avec le moelleux au chocolat et le sorbet au whisky, titre respectueusement 61,6° ! C’est donc un Bruichladdich PC6 que nous dégustons là. Le PC6 n’est agé que de 6 ans (d’où son nom). C’est un Bruichladdich : c’est tourbé, fin, délicat, un vrai bonheur. Marc Reynier, le propriétaire, fait tirer chaque année le résultat de la première distillation qu’il a effectué lorsqu’il a repris la distillerie. Et ça durera jusqu’au PC10, année où il souhaite commencer à distiller à Port-Charlotte (qui n’est plus en activité depuis pas mal de temps). Vivement le PC10, il devrait être moins fort et un peu plus subtil.
Pas mal de bonnes bouteilles, servies avec un repas succulent, des convives sympathiques : bref j’ai passé un très bon moment ce soir là …
Où ça ? A New-York. Le site est ici.
Une petite vidéo pour la route :
Note : 3/5
ISBN : 0446613339
Et hop, voici le premier tome d’une « nouvelle » série : la série des « Dreamers ». On ne présente plus David Eddings, qui a commis quelques cycles fabuleux dont la Belgariade et la Mallorée. Ce qu’on apprend maintenant, c’est que son épouse Leigh contribue aussi à ses oeuvres, et qu’enfin, elle est mentionnée en tant que co-auteur.
La série commence doucement, avec une exposition de la situation : quelques (4) personnages aux pouvoirs étonnants, escortés pour certains de jeunes enfants, qui luttent contre un gros vilain (rien que son nom, déjà, montre que c’est le méchant : Vlagh).
On retrouve les ingrédients à la Eddings : un monde cohérent, des personnages attachants et humains. Juste un reproche : un manque de rythme pour ce premier volume. Les autres volumes sont à suivre …