Aujourd’hui, réveil à 5h50 : je dois aller choper l’avion de 7h10 pour Paris. Y’a de fortes chances pour que j’arrive en retard à ma réunion (l’avion atterrit à 8h30, et la réunion commence à 9h) ; il faut dire que changer l’heure de 10h à 9h deux jours avant, ça ne m’a pas permis de changer de vol, vu que les vols précédent sont complets…
J’attends le taxi pour 6h20 ; oui, je prends un taxi pour aller à l’aéroport ; je n’ai pas de voiture, juste une moto, et ça serait galère de se trimballer le casque et le blouson dans l’avion. 6h20, c’est un peu serré, mais comme je me suis enregistré la veille par Internet, pas besoin de passer par le comptoir d’enregistrement.
6h20 : le taxi n’est pas là.
6h25 : le taxi n’est toujours pas là
6h30 : je décide de partir en moto
6h45 : arrivée au parking de l’aéroport. Whaou, quinze minutes pour relier l’aéroport, c’est un record (bon, ahem, j’avoue avoir un peu dépasser quelques limites de vitesse, pour assurer le timing)
6h55 : je suis dans l’avion, mais quelqu’un a pris ma place ! Je téléphone au taxi pour demander quelques explications : « J’ai pas entendu mon réveil » me répond mon interlocutrice…
J’arrive à Orly, et je fonce vers les taxis. Boudu con ! 200m de queue, 20 minutes d’attente. La poisse ! Je finis par monter dans un taxi …
Arrivé sur l’A86, je vois « N118, 28 minutes ». Arghhhhhhhh ! En plus y’a des bouchons !
J’arrive finalement à 9h40. La réunion se termine à 11h (soit 1h20 de travail effectif dans la journée). Je rentre chez moi.
Heuuu… chez vous, ils ont déjà entendu parlé du H323 ? Ca ne marche pas mal… En attendant, courage.
Commentaire by Emmanuel DESVIGNE — 1 juin 2006 @ 20:42