Toute notre petite famille a profité du grand week-end de l’Ascension pour passer une journée au Château de Chalabre, parc de loisirs historique et participatif. (more…)
Château de Chalabre
(Non)Gravure sous Linux avec un graveur externe (suite)
Pas moyen de trouver la moindre info sur mon problème.
Finalement, j’ai trouvé une solution, pas très élégante, mais qui a le mérite de marcher.
Lorsque je faisais un
cdrecord -scanbus
, j’avais un joli message du type « cannot open /dev/sg0 exclusively » (sachant que le /dev/sg0 était un des trois /dev créés à la mise sous tension du graveur (/dev/scd0, /dev/sg0 et /dev/sg1).
J’ai supprimé le /dev/sg0, et la gravure a marché !
Maintenant, pourquoi y a t’il un /dev/sg0, et pourquoi cela empêche la gravure de CD ? C’est le mystère (pour l’instant)
« Misery » de Stephen King
Note : 4/5
ISBN : 2253151378
Voilà un livre à vous coller les miquettes 1 !
Pas de grands effets, mais de grandes émotions.
L’histoire : un écrivain à succès, qui vient de trucider son héroïne dans son dernier livre, est victime d’un accident et est recueilli par sa plus grande fan ; il ne tarde pas à se rendre compte que tout ne tourne pas rond chez cette dernière.
Je ne suis pas un inconditionnel de King, mais là, j’ai bien aimé !
1 : © Kaamelott
Oxymore
On nomme oxymore (parfois oxymoron) une figure de rhétorique où deux mots désignant des réalités contradictoires ou fortement contrastées sont étroitement liés par la syntaxe. En exprimant ce qui est inconcevable, le poète crée ainsi une nouvelle réalité poétique, ou l’orateur un effet de surprise (http://fr.wikipedia.org/wiki/Oxymore)
(Non)Gravure sous Linux avec un graveur externe
Bouhou, j’arrive pô à graver un CD avec mon graveur externe …
Pourtant, il grave bien les DVD en USB et Firewire ; il grave bien les CD quand je branche le graveur en IDE. (more…)
« The Quest » de Giorgio Kostantinos
Note : 2/5
ISBN : 1418474746
Est-ce le style (très spécial) ? Est-ce la langue (loin d’être ma langue maternelle) ? Je n’ai pas réussi à « rentrer » dans ce livre.
D’habitude, lorsque je lis un roman, c’est le livre qui me raconte une histoire, et non moi qui lit un livre (d’où la vitesse à laquelle je peux ingurgiter un livre).
Ici, non. La magie n’a pas opéré. C’est rare et je ne sais pas pourquoi … Je pense être passé à côté de quelque chose, ce qui explique le 2.
Peut-être y retournerai je d’ici quelques temps …
« Les galactiques secrets » de Van Vogt
Note : 1/5
ISBN : 2226005749
Je venais de terminer un excellent bouquin ; mais, pour des raisons diplomatiques, je ne pouvais pas accéder à la bibliothèque principale de romans ; je me suis donc rabattu sur la bibliothèque du salon, qui comporte les romans dont les auteurs vont de T à Z.
J’ai retrouvé là « Les galactiques secrets » de Van Vogt. Quand je dis retrouvé, c’est un grand mot, car je ne me souvenais ni de l’histoire, de la façon dont ce livre était parvenu dans ma bibliothèque (je suis parti du principe que c’était bien un livre à moi car Cécile n’a que très peu de livres de science-fiction) ; j’ai dû être attiré par cette ouverture quitch métallisée des année 70. (more…)